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L'avortement dans l'antiquité

L'avortement dans l'antiquité est pratiqué pour les mêmes raisons qu'aujourd'hui comme les problèmes d'héritage, d'argent ou d'infidélité. 

Pour se faire avorter les femmes faisaient des choses concrètes avaler des herbes, se frapper le ventre ou encore se faire ouvrir le ventre. Les actes s'accompagnent de magie ou d'astrologie.

La femme devait consommer du lait de chienne avec des décoctions de chicorés. Il y a aussi des testicules de castor, du sang de chèvre mélangé à des épices.  

Des pratiques par la magie : la femme enceinte doit marcher au dessus d'un oeuf de corneille. On dit que cela fait avorter directe. 

Une autre méthode c'est d'insérer du poisson dans le vagin ou l'utérus. Il s'agit de boules de laine contaminés de mélanges irritants, souvent à base de figues mélangées avec du carbonate de sodium. 

L'avortement durant l'antiquité est aussi dangereux que n'importe quel avortement clandestin au 21 ème siècle. Les conséquences peuvent être terribles. Toutefois, l'avortement n'était pas considéré comme un meutre, un infancide ou une offense aux dieux



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