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Dans l'antiquité, la femme est une éternelle mineure

 Si aujourd'hui il y a de nombreux débats autour de l'égalité entres les hommes et les femmes dans l'Antiquité c'était autrement.  Nul ne pouvait envisager que les hommes soient égaux entre eux.  L'inégalité était tolérée et même nécessaire.

La gente masculine dominait et la femme était assujettie aux lois injustes d’une société misogyne et inégalitaire, la liste de ses incapacités juridiques ne faisant que refléter l’état d’infériorité dans laquelle la tiendrait une société dominée par les hommes

Être femme dans l'antiquité c'est admettre que la gente masculine soit supérieure à soi.  C'est mener l'existence d'une éternelle soumise. 

Dès le premier jour de sa vie, la petite fille subit l'autorité de son père. Devenue jeunes mariée, elle quitte le foyer familial. Elle ne se libère de la domination paternelle que pour accepter celle de son mari. 

Tout au long de son existence, une femme doit tolérer la présence  d'un homme au dessus d'elle , qu'il soit son père, son mari ou son frère. 

Dans ces conditions,un mariage n'est pas affaire de sentiments, la jeune fille ne choisit pas son conjoint. Elle accepte l'époux que son père lui désigne. 

Aucune femme ne pouvait avoir de relation avant le mariage et le mari était choisis exclusivement par le père en outre le père pouvait tuer l'éventuel amant de sa fille et la fille elle même. 



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